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HISTOIRE DE RIRE UN PEU

Lors du passage à la Martinique d'un cirque d'Amérique Latine, Léon APANON et son orchestre sont invités à prendre part à la manifestation. Le directeur de ce cirque étant très satisfait de la prestation de cet orchestre local suggère à l'interprète de le faire savoir à Léon APANON en lui précisant que pour les jours suivants, il souhaiterait que les musiciens Antillais se parent de quelque uniforme qu'il fournirait ou que Léon APANON leur donnerait (genre une casquette et une chemise bouffante).

Voilà ce que dit l'interprète : " Monsieur APANON, le directeur vous demande de bien vouloir à l'avenir vous revêtir d'une casquette et d'une chemise "
En créole : " I di ou con ça est-ce que pa cé ni moyen a ce que nou chaque qui la a pas cé peu métté en ti casquette et en chimise ?

Monsieur APANON un peu vexé répond directement à Monsieur le directeur du cirque : "No métos casquettos, quant a pou casacos pas mém parlos"



ANECDOTE VECUE ET RACONTEE PAR L'INTERESSE

Jack BUTLER est ce trompettiste noir Américain, ex. chef d'orchestre à " La Cigale " : Comme tous les musiciens de l'époque, Jack est sollicité par une admiratrice.

Celle-ci est belle et jeune, elle insiste beaucoup pour se faire remarquer et séduire le trompettiste. A l'entracte, ils se mettent d'accord pour un " rendez-vous " après le spectacle. La jeune femme propose au trompettiste de l'accompagner chez elle. Une fois sur place, les choses se passent très vite. Puis ils s'endorment. Jack était unijambiste et portait une perruque. Dans son sommeil, il s'est débarrassé de sa prothèse et de sa perruque en plus de ses appareilles dentaires. A son réveil le matin pour se rendre à son travail, la jeune femme découvre l'affreux spectacle de son amoureux d'une nuit. Elle pousse des hurlements et quitte son domicile pour chercher de l'aide.



Alain SAINT-CLAUDE

Est ce chanteur-guitariste et chef d'orchestre qui a longtemps officié à la "canne à Sucre ". Un soir, après sa prestation quotidienne dans ce fameux cabaret, la faim le travaille. Il rentre dans le restaurant le plus proche et réclame une omelette de douze œufs et un kilogramme de pâtes alimentaires. Il avale rapidement son repas et rentre à son domicile. Là, il se rend compte qu'il a encore un petit creux à l'estomac. Il ouvre donc le réfrigérateur et y trouve deux merveilleux poulets bien dorés. Ceux-ci sont ingurgités en un clin d'œil, après quoi il pense à aller se coucher.

Son épouse qui avait des invités pour le lendemain eut la désagréable surprise de constater à son réveil la disparition de ce qui était prévu entre autre pour recevoir ses hôtes.
Bon appétit monsieur Saint-Claude.




Méfions-nous des apparences

Lors de l'a réouverture de l'ex. boite de l'artiste Alain ROMANCE (rue monsieur le prince), rebaptiser " La Romance " la nouvelle propriétaire Lisette (amie de Franck ROSINE) chargea ce dernier et Francisco d'en faire l'animation. Le beau monde parisien y affluait, notamment un couple de gens aisés. Sa consommation servie, le mari, afin de faire le connaisseur, désignant Franck et Francisco à son épouse lui jette l'affirmation suivante : tu vois, chérie, ces deux hommes sont des homosexuels. Franck ayant entendu, prévient Francisco qui l'incite à s'installer au piano, afin d'inviter l'épouse à danser et ce, pendant le quart d'heure de charme qui fut prolongé au-delà du temps.
Le mari convaincu de l'homosexualité du danseur ne se fait aucun souci. Ce quart d'heure n'a certainement pas déplu à la femme. L'accueil et l'échange furent tels dans ce quatuor, que le mari, toujours confiant, invita, nos deux prétendus homosexuels, à terminer la soirée à son domicile, après la fermeture. Ce qui fut fait. Pour comble de bonheur ou de malheur, il y avait là un piano. La danse repris de plus belle. Le mari las et confiant, se rendis au lit, en laissant sa femme en compagnie des deux lascars.

Que ne fut sa surprise à son réveil, son épouse avait abandonné son foyer avec les prétendues femelles.


(Aude BAGOE)